Et puis au pire on s’aimera

Et puis au pire on s’aimera

Ça commence comme une belle histoire d’amour. Du genre… à l’eau de rose. D’ailleurs, le roman débute par une rose déposée sur le palier d’Alice, trentenaire rongée par la solitude.
Il y a du mystère également, car Alice ignore qui lui envoie des fleurs et de belles déclarations. Une situation romantique à souhait mais qui peut également paraitre… quelque peu inquiétante.
Tout prend donc la forme d’une comédie romantique pleine d’humour et… de doutes.
Entre les copines du travail, heureuses de voir Alice ainsi courtisée, et son directeur, pressé de la licencier, Alice passe par des émotions contrastées qui la rendent tour à tour heureuse, désespérée, charmée, affolée. Tant de bouleversements dans une vie monotone sont fantastiques et perturbants à la fois. Ne sont-elles pas nombreuses, les âmes seules qui rêveraient d’être emportées par un mystère aussi romantique ?
Jusqu’au jour où… ça dérape. Où le rêve devient cauchemar. Où, comme dans les cauchemars, le pire ne se révèle jamais sous la forme attendue.