Il écrit son premier roman, J’aurais préféré vivre, après le suicide de son meilleur ami. Son objectif était alors simplement de raconter l’histoire qui aurait pu convaincre celui-ci de renoncer à son geste. Mais une fois terminé, ses proches lui suggèrent de le faire parvenir aux éditeurs. Il refuse tout d’abord, expliquant qu’il ne l’a pas écrit pour être édité. Puis, face à leur entêtement, finit par l’adresser à quelques maisons d’édition. A sa grande surprise, quatre d’entre elles se montrent intéressées. Le roman est publié sans publicité ni relations presse. Mais le thème du suicide et l’histoire d’amour entre Jeremy et Victoria trouvent un accueil favorable auprès d’un public jeune. Le bouche à oreille fonctionne et c’est le succès. Le roman devient un best seller (plus de 190 000 exemplaires ont été vendus à ce jour en France). Il est traduit dans plus de 20 pays. Il obtient le Grand Prix Jean d’Ormesson pour sa capacité à défendre la langue française.
Dans ses romans suivants Thierry Cohen démontre son art du suspense mais également sa capacité à créer des histoires pleines d’émotions, au cœur d’une réalité teintée de mysticisme.
Thierry Cohen est également fondateur de l’association Noël Ensemble dont la vocation est de réunir juifs et musulmans pour offrir un réveillon de Noël aux personnes âgées seules ce soir là.